lundi 28 décembre 2015

VIEIL hOMME DE LETTRES

Il s'agit d'un petit recueil de poèmes, un vieux livre sur lequel j'ai mis la main il y a quelques mois.  Ce qui a attiré mon attention vers cet ouvrage c'est le nom de l'auteur, Doucet; c'est le nom d'amis de ma famille, et je me suis dit que je pourrais aimer.  La publication s'est faite à Québec, en 1913.  Le livre fait à peine 46 pages: comme bien d'autres livres de poésie, il est plutôt court.


Je l'ai retrouvé tout à l'heure alors que je croyais qu'il avait disparu lors de mon déménagement récent.  Il me restait quelques pages, que j'avais photocopiées.  Mais je l'ai maintenant, puisque j'avais pris la peine de le placer dans un sac de toile, c'est juste que je n'avais pas sorti tout le contenu de ce sac encore.


Donc tout à l'heure j'ai relu un peu le livre, et quelques lignes m'ont sauté aux yeux, je les ai relues autrement, peut-être, de la première fois, c'est que j'ai fait un lien avec quelque chose que j'ai déjà dit moi-même, eh, à une seule personne je l'ai dit, à mon ex-copain.  


J'ai donc trouvé en ce petit livre la preuve que ma pensée est partagée, en fait je le savais puisque c'est le sujet du livre, mais l'essentiel est dans ces quelques vers.


Que dire de plus, je ne broderai pas une fin spectaculaire à ce présent message, j'en ai écrit l'essentiel, qui suffit...  Sinon que j'ai cru voir un lien entre ce livre et un autre livre, publié lui en 1936, qui pourrait avoir été rédigé par le même auteur.  Un livre que je n'ai plus: celui-là je l'ai vraiment perdu.

samedi 5 décembre 2015

MON MAGAZINE

Nous avons eu du beau temps au début de novembre, assez pour ressortir nos manteaux mi-saison que nous avions rangés, mais maintenant je porte mon manteau d'hiver parce que la température baisse graduellement chaque jour, même s'il fait relativement beau; en tous les cas aujourd'hui c'est ensoleillé. 


Il y a donc six mois que j'ai écrit mon précédent message, ce qui n'est pas performant, je ne prétendrai pas que cela le soit.  Le prince Pierre s'est marié le 25 juillet.  J'ai une photo du couple au balcon du palais, j'aime beaucoup la robe de Béatrice, toute en légèreté, une vraie robe de princesse.  Dans le magazine où j'ai découpé cette photographie on la qualifiait de «photo de mariage», c'est en effet la classique photo de mariage, Pierre et Béatrice sont tournés l'un vers l'autre, ils se regardent dans les yeux.  C'est un beau souvenir.




Cette semaine je suis interpelée par la sœur, Charlotte, que je lis dans Madame Figaro qui est devenu mon magazine de prédilection.  Je voulais acheter un magazine, juste un, j'ai essayé Marie-Claire, Oprah's, aucun de ces magazines ne m'a paru suffisamment intéressant pour que j'y fasse autre chose que survoler les titres des articles et y lire quelques entrefilets.  Je me doutais bien que mon choix avait des chances de se porter sur Madame Figaro, dont j'aimais déjà faire les mots croisés.





Une fin de semaine où je parcourais les allées de ma boutique préférée pour les magazines, boutique où il y a un bon choix, c'est important parce que le Madame Figaro on ne le trouve pas partout, mon regard a été attiré par la couverture du Madame Figaro, où justement on voyait le visage de Charlotte Gainsbourg, une actrice que j'adore.  J'ai acheté ce numéro, j'ai fait les mots croisés, et j'ai commencé à lire tous les entrefilets un par un d'abord.




J'ai bien vu que ce n'était pas la meilleure façon de l'aborder, pour les mots croisés oui, je les fais tout le temps en premier, mais quant à  la lecture de cet hebdomadaire ça se peut que je n'aie pas le temps pour tout.  Mais tout m'intéresse.  Ce que je fais c'est que je marque dans la table des matières les articles qui m'interpellent davantage, ainsi quand je reprendrai cet exemplaire je verrai ce que j'ai déjà lu, et je le relirai, ou je lirai autre chose, peut-être.  Et depuis cette semaine-là, il y a environ deux mois, Madame Figaro est véritablement devenu mon magazine de prédilection.




Donc pour ce qui est du numéro qui est arrivé cette semaine, il faut tout de même que ça se rende, de la France, Charlotte Casiraghi en est la rédactrice en chef.  Je suis heureuse de lire cette jeune femme sensible et passionnante, que mon fils Alexis connaît, lui, personnellement, grâce à l'équitation.


Sur Facebook j'ai raconté en quoi elle ressemble à Stéphanie, qui est celle que je connais le plus et le mieux dans la famille Grimaldi, la famille des princes de Monaco.  Et  je me disais, je vais écrire: sa mère Caroline (mère de Charlotte) devait être bien découragée de voir comme Charlotte est fonceuse et entreprenante comme Stéphanie, sa terrible sœur.  Mais je crois qu'elle doit être moins craintive depuis que Charlotte vit une vie plutôt rangée avec Gad Elmaleh et leur petit garçon.  Charlotte ressemble beaucoup plus je pense à Caroline qu'à Stéphanie, il n'y a pas de problème.

vendredi 29 mai 2015

MA VIE À QUÉBEC


Cinq ans plus tard... c'est que j'ai repris l'œuvre, je veux écrire quelque chose de nouveau, je veux faire un blogue «traditionnel», c'est-à-dire me raconter, raconter ce qui me tient à cœur, mon quotidien, ce qui me motive dans tout ce que je fais.  Je pourrais aller jusqu'à éliminer les deux autres blogues, où j'ai raconté des choses, je ne veux plus raconter des choses, je veux me raconter.



A soixante ans maintenant je suis comme à vingt-cinq ans.  Dans les magazines qui sont en kiosque en ce moment on voit les photos des bébés nés tout récemment, deux filles, Charlotte fille de William et Kate, et India, la fille du couple Andrea et Tatiana de Monaco.  Les deux naissances ont coïncidé avec le baptême des jumeaux du prince Albert et de Charlene, Gabriella et Jacques.  Deux générations à Monaco, des enfants la même année, parce qu'Albert s'est marié à cinquante ans passés.  Des enfants de la princesse Caroline Charlotte est maman depuis peu de temps, elle a un fils, Raphaël, Andrea a lui-même un garçon, Sacha, le grand frère d'India, et Pierre est fiancé, ou sur le point de se fiancer, je ne sais plus, je ne voudrais pas vous tromper.  La plus jeune, Alexandra, n'a que quinze ans, pour elle les fiançailles et les bébés c'est donc pour plus tard.


A vingt-cinq ans, peut-être à vingt-six, je commençais à lire ce qui est publié sur cette famille, davantage concernant Stéphanie, la jeune sœur d'Albert et Caroline.  Stéphanie a elle-même trois enfants, Louis, Pauline et Camille, fruits de ses deux mariages, mariages qui ont peu duré, mais elle a ces trois enfants et je crois que c'est ce qui compte pour elle, les deux hommes elle ne les aimait pas suffisamment pour rester avec eux, mais elle a ces enfants et ces enfants ont un père, voilà!

Par ailleurs au niveau local nous venons de vivre l'accession de Pierre-Karl Péladeau à la tête du Parti québécois; prélude d'une ère nouvelle, selon certains.  Ailleurs, au Népal, il y a eu ces terribles tremblements de terre qui ont détruit une partie de la ville de Katmandou, les temples, les statues: une catastrophe des plus impressionnantes. 


Quand j'écris "cinq ans plus tard" je parle de cinq ans où, et c'était déjà commencé depuis un petit bout de temps, j'ai écrit sur Internet que les choses n'allaient pas à mon goût, mais cela a été plus particulièrement ces cinq ans, j'avais terminé le recyclage professionnel que j'ai fait par moi-même dans le but de retrouver du travail, et je ne trouvais pas, justement, alors, cinq ans j'ai cherché: c'est quoi l'idée? 

C'est aussi clair que ça dans ma tête, et ça a pris tout de même cinq ans, on m'a aidée, j'ai vu peut-être clairement ce qui me nuisait, c'est plus simple, je vois bien la situation et je peux passer à une autre étape, je vais me raconter, comme j'ai fait aujourd'hui en vous parlant d'actualité, me disant que quand les terriens reliraient cela dans quelques décennies ces quelques faits qui font l'objet des conversations en ce moment les situeraient, qu'ils diraient: ah, oui; c'était ça qui se passait en 2015.